Urscumug a écrit :talis-man a écrit :d'autant que chaque année, environ 200 personnes décèdent de la combustion instantanée en Grande Bretagne
C'est énorme et tout bonnement incroyable ! D'où sort ce chiffre ?
L'article sur wikipedia et d'autres que j'ai pu lire parlent d'un "effet de mèche", d'une lente combustion des graisses présentes en quantité dans les parties centrales du corps.
Et à l'ère des caméras omniprésentes, si des gens prenaient régulièrement feu, on en verrait plein sur youtube.
Coucou,
Je ne l'ai pas vérifié personnellement, mais il vient du Factor X numéro 5, spécial sur les combustion spotannée.
Oui, une combustion des graisses présentes en quantité dans les parties centrales du corps, mais pourquoi prendrait-elle feu??
Lumpinee a écrit :Et puis le probleme qui se pose aussi est la température nécessaire pour qu'un corps humain prenne feu, et la quantité de combustible. La kundalini est une hypôthèse peu probable, si vous voulez mon avis.
Soi-disant, pour la température, pour arriver à une fine cendre blanche comme on retrouve le plus souvent, on est au dessus des 2000 degrés
Quelques informations complémentaires...:Après il y a une théorie qui porterait à croire que les victimes se trouvent en état de transe lors du phénomène...
Par exemple:
En 1974, en Géorfie, Jack Angel s'est endormie dans son lit pour ne se réveiller que 4 jours plus tard, avec des brûlures épouvantables qui nécessiteront l'amputation de son avant bras. Pourtant, son pyjama et ses draps étaient intact et il n'a ressenti les premières douleurs que quelques heures avant d'avoir repris conscience
Angel n'a jamais pu se souvenir comment l'incident s'était produit. Bien que les victimes de ce phénomène ne semble pas être consciente lors de leur combustion, il apparaît, d'après les travaux des légistes, qu'elles inhalent de grandes quantités de fumée dont on retrouve la trace dans leurs poumons.
Cela tend à prouver que les victimes de combustion spontanée sont bien vivantes au moment où leur corps prend feu...
Source: Factor X, numéro 5.